La fiscalité de l’assurance vie
L’assurance vie
L’assurance vie est l’un des placements les plus choisis en raison des avantages qu’elle génère. Parmi ces derniers, on parle surtout de la fiscalité.
À la dissemblance de certains moyens d’investissement pour la retraite, l’assurance-vie bénéficie d’une imposition privilégiée.
L’assurance vie valorise également les sommes épargnées afin de pouvoir capitaliser.
L’assurance vie permet une future pérenne du côté financier lors de la cessation d’activité parce qu’elle est une autre source de revenus.
Par contre, cette dernière diffère selon plusieurs raisons : le type de couverture adoptée, la durée du contrat, les conditions sur les décès.
Prélèvement forfaitaire libératoire
Ce type de patente permet de fixer l’impôt de salaire à un pourcentage unique ne dépendant pas des revenus d’un foyer.
Il s’oppose au barème progressif de l’IR qui détermine la redevance par rapport aux gains de chaque ménage.
À titre d’exemple, dans le cas d’un investissement en assurance-vie après 8 ans d’épargne, le taux est à 7,5 %.
Pour arriver au prélèvement forfaitaire libératoire, il faut passer par la simple surtaxe libératoire.
Il est appelé ainsi parce qu’il permet de se démunir de toutes obligations fiscales. Le redevable ne verse plus rien après le règlement de la déduction.
D’un côté, il existe aussi un autre moyen de charge dit « non libératoire ».
À la différence du premier type, ceci est déterminé par rapport aux revenus des assujettis.
À titre d’illustration, le taux prélevé à un épargnant ayant encaissé un dividende est de 21 %.
Dans ce cas, il se doit s’acquitter de cette fiscalité.
Par la suite, cette contribution sera déduite à l’impôt à payer l’année prochaine.
Impôt sur le revenu
L’impôt sur revenu ou IR, comme son appellation, se repose sur les gains en capital et les bénéfices. Il touche une personne physique, un foyer, un établissement non lucratif.
Cette charge a été mise en place en France afin de rendre plus moderne son système fiscal. Il a subi diverses modifications jusqu’à ce jour.
En effet, cette contribution se rapporte sur les patrimoines sur quoi les rémunérations de leurs propriétaires peuvent être estimées.
Cela comprend les terrains et surtout les immeubles.
Pour les entreprises, l’excise concerne les impôts sur les sociétés. Par contre, pour les ménages, elle touche plusieurs domaines et catégories.
Elle comprend : la Contribution sociale généralisée (CSG), la Contribution pour le remboursement de la dette sociale (CRDS) et l’Impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPP)
Abattement au bout des 8 ans
Dans l’assurance vie, il est possible de faire des dégagements quand l’épargnant en éprouve le besoin, c’est-à-dire à tout moment. Avant cela, entre 0 à 4 ans, l’impôt se fixe à 35 %.
Entre 5 à 8 ans, il est de 15 %. C’est à partir de la 8e année qu’il devient plus avantageux.
Le taux est réduit et atteint à 7,5 %. Dans d’autres cas, les acquittements et les retraits que les contribuables effectuent sont défiscalisés.
Un rachat, par exemple, se compose d’une partie du montant versé lors du contrat.
D’un côté, il y a aussi les recettes que cela génère. L’impôt est donc pris à partir de ces bénéfices.
Pour un célibataire, l’excise est calculée après un abattement annuel de 4 600 € et 9 200 € pour un couple.
Si la somme dépasse cette limite, le contribuable a le choix entre le prélèvement forfaitaire libératoire et faire une intégration de ses intérêts au barème de l’IR ou l’impôt sur revenu.
Prélèvements sociaux
Appelé aussi contributions sociales, ce type de prélèvements sert à investir sur la protection sociale.
Ces impôts sont tirés à partir de deux sortes du gain financier : celui des activités et de replacement et celui du patrimoine et de placement.
Cela concerne les employés comme les non-salariés à partir de leur gage, avantages en nature ou en espèce, des bénéfices agricoles, des traitements, des BNC ou BIC et de différentes primes.
Ce procédé est appliqué à tous redevables vivants en France. Leur rémunération doit être sujette de charge communautaire.
Ceux qui ont des activités en dehors du pays doivent un pourcentage de leur revenu à la CSG (Contribution sociale généralisée) et CRDS (Contribution au remboursement de la dette sociale.
Mis à part ces 2 sortes d’imposition, il y a aussi la fiscalité de la solidarité, le prélèvement social fixé à 4,5 % et celui qui est additionnel.